Fuite pour mieux étaler au sol les débris de ma mémoire.
Poitrine compressée par la douleur incongrue désormais physique.
Je cherche dans mes yeux les larmes, et mes cils secs s’abreuvent de silence.
Lèvres serrées s’étirent, défigurées, et l’iris brouillé cherche, pénombre.
Enfin, terrassé par les tournoiements incompris
Je laisse l’horizon du mur emplir le champ
De bataille en tempête, acceptation.