Il n’existe pas plus belle lumière que celle du 9 novembre, ricochant et sur les herbes, et sur les arbres.
L’Océan se fige, gouache mordorée à l’infini.
Oblique silencieuse dans le vacarme immobile de l’avant-jour.
Il n’existe pas plus belle lumière que celle du 9 novembre, ricochant et sur les herbes, et sur les arbres.
L’Océan se fige, gouache mordorée à l’infini.
Oblique silencieuse dans le vacarme immobile de l’avant-jour.