Le Sidobre laisse ses flancs lacérés de sapins serrés épouser les volutes cotonneuses des orages. Couleurs de tableau, dressé nonchalemment dans l’accalmie d’un vert sombre, entre deux déferlements d’aquarelle grise.

Mystique mastodonte ornant l’horizon, ses légendes emplissent le ciel, suintent vers la vallée. La modernité, cheminée d’usine, se dresse en anachronisme d’un temps parallèle.