Je m’assoie sur le tabouret blanc.
La porte-fenêtre double est ouverte à la volée. Air de septembre rafraichi par les nuages lointain, par ceux passés et ceux laissés là par le temps maussade des derniers jours.
Je m’assoie sur le tabouret blanc.
La porte-fenêtre double est ouverte à la volée. Air de septembre rafraichi par les nuages lointain, par ceux passés et ceux laissés là par le temps maussade des derniers jours.